Une journée au musée

1^er étage, Atrium

L’Atrium, le cœur du bâtiment, combine l’extérieur et l’intérieur. Les passerelles qui l’entourent offrent de superbes points de vue sur les œuvres d’art.

Premier étage, salle 104

On peut expérimenter et agir sur le temps et l’espace en parcourant l’intégralité de l’installation de Richard Serra, intitulée La Matière du temps (1994-2005).

Premier étage, Atrium

Les œuvres à emplacement spécifique réalisées par des artistes contemporains dialoguent avec les espaces intérieurs et extérieurs du bâtiment conçu par Frank Gehry et constituent une part importante de la Collection du Musée Guggenheim Bilbao.

Plaza

Si vous avez besoin d’une pause ou d’une collation, arrêtez-vous au Bar Guggenheim Bilbao, situé à côté du Bistró, place du Musée.

Extérieur

De la terrasse qui surplombe l’estuaire, à côté de l’Atrium, on peut voir à quel point le Musée épouse parfaitement l’environnement urbain, grâce aux matériaux utilisés (titane, verre et calcaire) et grâce au dialogue entretenu entre les édifices et structures des alentours.

3ème étage

Au troisième étage est présentée l’exposition Œuvres de la Collection du Musée Guggenheim Bilbao, qui nous plonge au cœur de certains des mouvements les plus importants de la seconde moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle, à travers les réalisations d’artistes aussi prestigieux que Cristina Iglesias, Sol LeWitt et Mark Rothko de la collection du Musée Guggenheim Bilbao.

Restaurants

Le Musée dispose aussi de deux restaurants pour vous permettre de vivre des expériences culinaires de qualité : le Nerua Guggenheim Bilbao, un restaurant de haute cuisine et le plus cool Bistró du Guggenheim Bilbao.

Premier étage

La librairie-boutique du musée propose un large éventail d’objets design, de catalogues, publications et cadeaux en tout genre. Les Amis du Musée y bénéficieront de réductions. Pour plus de confort, vous pouvez également visiter la boutique en ligne.

L’exposition consacrée à l’artiste autrichienne Martha Jungwirth (née en 1940) occupe les salles 205, 206, 207 et 209 du premier étage du Musée.

À mi-chemin entre la figuration et l’abstraction, Martha Jungwirth conçoit ses œuvres à partir de stimuli visuels allant des portraits, des images de presse et des paysages de ses voyages aux toiles de maîtres de l’histoire de l’art comme Frans Hals, Francisco de Goya et Édouard Manet, parmi bien d’autres.

Au moyen de crayons de couleur, de graphite, de cires pastel, de fusain, de pastel, de plume et d’encre, d’aquarelle et de peinture à l’huile, l’artiste transforme à son gré des images figuratives en coups de pinceau et éclaboussures maîtrisés. Parallèlement, elle choisit des supports inattendus, comme le dos en carton de certains cadres de tableaux, des rouleaux de papier anciens et même de vieux livres de comptes.

À ne pas rater dans la salle 209, ses œuvres monumentales et de création récente.

L’exposition consacrée à Yoshitomo Nara (1959) regroupe une sélection de ses peintures, dessins, céramiques et sculptures, ainsi que l’installation My Drawing Room, une simulation de l’atelier où travaille l’artiste japonais.

Dans les années 1990, alors qu’il se formait en Allemagne, Yoshitomo Nara développe un nouveau style, créant pour la première fois ses personnages d’enfants et d’animaux si caractéristiques. Loin d’être kawaii (adorable en japonais), ses personnages sont espiègles et parfois même menaçants.

Leur attitude protestataire et rebelle évoque les mélodies et les messages des chansons folk et rock des groupes qui ont émergé dans les années 1950 et 1960 dans le cadre des mouvements de défense des droits civiques et des protestations contre la guerre du Viêt Nam. Plusieurs de ses personnages portent d’ailleurs des slogans anti-guerre ou anti-nucléaire.

Les tableaux de Nara sont le fruit d’une minutieuse superposition de couches qui confèrent à la surface picturale d’innombrables nuances chromatiques.