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Expositions | Musée Guggenheim Bilbao

Passée

Precedent | Musée Guggenheim Bilbao

Du fauvisme au surréalisme : chefs-d'œuvre du Musée d'Art Moderne de Paris

Audio-guide

Introduction à l'exposition

Fundación BBVA

SALLE 305

Fauvisme et cubisme : quand la modernité fait scandale

SALLE 306

Rendez-vous à Paris

SALLE 307

Evolutions du surréalisme

Le Musée d’Art Moderne de Paris (MAM) et le Musée Guggenheim Bilbao présentent une sélection de près de 70 chefs-d’œuvre de maîtres témoignant de l’histoire de la collection du MAM, constituée en regard des mouvements d’avant-garde nés à Paris pendant les premières décennies du XXe siècle.
Le MAM est créé à l’occasion de l’historique Exposition internationale de 1937 en vue d’accueillir les fonds d’art moderne de la Ville de Paris, qui s’enrichissent au cours des années suivantes grâce à d’importantes acquisitions d’œuvres d’artistes majeurs de la scène parisienne. Le MAM n’est toutefois officiellement inauguré qu’en 1961. Les mécènes apportent un soutien précieux au projet, en particulier le docteur Maurice Girardin, dont le legs au musée en 1953 forme le noyau de la collection autour des maîtres modernes, notamment les artistes fauves, les cubistes, et les représentants de l’École de Paris.
Amedeo MODIGLIANI 
Femme aux yeux bleus, vers 1918 
Huile sur toile 
81 x 54 cm 
Inv. : AMVP 1681 
© Paris Musées / Musée d’Art Moderne de Paris

ART ET TECHNIQUE : LA VIE MODERNE

UNE COLLECTION EXCEPTIONNELLE : LE MUSÉE D’ART MODERNE DE PARIS (MAM)

LA FÉE ÉLECTRICITÉ

PARIS, VILLE LUMIÈRE

IMAGES EN MOUVEMENT

ELECTRICITÉ

MOYENS DE TRANSPORT

THÉORIES DES COULEURS

NOVEAUX MATÉRIAUX

Au musée

Nous vous invitons à participer à une visite virtuelle de l’exposition Du fauvisme au surréalisme : chefs-d&#8217;œuvre du Musée d&#8217;Art Moderne de Paris. Cette promenade comprend toutes les œuvres et les textes d’explication présentés au sein de l’accrochage.

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VISITE VIRTUELLE

Le Musée d’Art Moderne de Paris (MAM) et le Musée Guggenheim Bilbao présentent une sélection de près de 70 chefs-d’œuvre de maîtres témoignant de

Du fauvisme au surréalisme : chefs-d&#039;œuvre du Musée d&#039;Art Moderne de Paris | Musée Guggenheim Bilbao

Du fauvisme au surréalisme : chefs-d'œuvre du Musée d'Art Moderne de Paris | Musée Guggenheim Bilbao

Sharon Lockhart. Rotation notation

Le programme Film &amp; Vidéo du Musée Guggenheim Bilbao se tourne en permanence vers les pratiques artistiques liées à l'image en mouvement et explore les rapports critiques entre arts visuels, installations cinématographiques et culture contemporaine en général.
Les œuvres de Sharon Lockhart (Norwood, États-Unis, 1964), qui explorent une multiplicité de médias, se focalisent sur l'activité humaine et ses modes d'organisation, qu'ils soient sociaux ou individuels. Plus concrètement, ses films abordent le travail, le sport, les jeux d'enfants et la chorégraphie, et analysent la complexité et la profondeur poétique des mouvements simples en apparence. Concises et dépouillées, ses œuvres sont des exercices d'observation qui brouillent les frontières entre le corps et la caméra, entre la mise en scène et le regard privilégié du public. Dans la mesure où le documentaire et la performance se fondent en une seule expression, l'existence du monde devient palpable d'une manière perçante dans l'acte même de le documenter. À travers l'immobilité de l'objectif, la volonté moderne d'objectivité technique est privilégiée, et les situations sont donc présentées comme si elles se filmaient elles-mêmes.
Lockhart détourne la mécanique du cinéma pour en faire une forme d'autoréflexion méditative, un cadrage dans lequel les interprètes – acteurs, individus, corps – se manifestent comme des vecteurs réels de présence, de mouvement et de relations. L'attention de l'artiste vis-à-vis de la cohérence et des limites de la création est intrinsèque à son étude sur l'objectivité et la reproduction automatisée de la réalité visuelle à hauteur de 24 images par seconde. La réalité crée le film autant que son auteure, et une fois que le mouvement et la lumière sont saisis sous forme de film, ils peuvent être réanimés et analysés par une reproduction sans fin. En ce sens, la rencontre de Lockhart avec les œuvres de la chorégraphe israélienne Noa Eshkol (Kibbutz Degania Bet, Israël, 1924–Holon, Israël, 2007) a non seulement enrichi son exploration formelle du mouvement humain, mais a également élargi la dimension collaborative de son travail en s'engageant dans une pratique aux multiples facettes comme celle d'Eshkol, dont l'interprétation dépend fortement d'une certaine collectivité. Les séries d'installations vidéo et de photographies de Lockhart, inspirées de l'héritage d'Eshkol, sont un dialogue qui, d'une part, a été crucial pour la redécouverte contemporaine de l'œuvre d'Eshkol et qui, d'autre part, démontre la profondeur avec laquelle Lockhart appréhende les médiums artistiques comme un moyen pour véhiculer la réception et l'action partagée.
Dans l'installation Quatre exercices, d’après le système de notation du mouvement Eshkol-Wachman (Four Exercises in Eshkol-Wachman Movement Notation, 2011), la danseuse Ruti Sela – collaboratrice historique d'Eshkol et membre de son Chamber Dance Group de 1969 jusqu'à sa mort récente – effectue des mouvements mesurés et se déplace entre quatre volumes gris identiques, conçus par Lockhart comme autant de références à l'espace occupé par le corps de la danseuse lors de chaque exercice. La disposition des volumes change dans chacune des quatre danses représentées, et leurs dimensions correspondent aux mensurations de la danseuse. La hauteur de chaque volume est égale à sa taille quand elle a les bras levés, tandis que la largeur correspond à l’amplitude de ses bras. Dans un acte de reconnaissance et d'appropriation, la succession minutieuse des actions dans l'œuvre de Lockhart incarne le système de notation développé par Eshkol et son mari, l'architecte Avraham Wachman en 1958. Cette méthode rigoureuse, connue sous le nom de EWMN, est capable d'enregistrer toute la gamme des mouvements potentiels d'un corps et elle est encore utilisée aujourd'hui pour les compositions chorégraphiques, l'étude de la locomotion animale et le diagnostic de certains troubles du comportement, comme l'autisme ou le syndrome d'Asperger. En développant un inventaire de chiffres et de symboles, Eshkol et Wachman ont utilisé un ensemble de modèles sphériques pour inscrire les rotations possibles des articulations et des membres du corps humain. Ces sphères sont traitées dans une série de photographies de Lockhart intitulée Modèles d’orbites du système de référence, système de notation du mouvement Eshkol-Wachman (Models of Orbits in the System of Reference, Eshkol-Wachman Movement Notation System, 2011), dont une sélection est visible à l'entrée de la salle Film &amp; Video. Contenues dans une structure métallique sphérique, plusieurs formes coniques en maille représentent l’évolution d'un mouvement dans l'espace. Les photographies de Lockhart, qui renvoient aux études pré-cinématographiques des corps en mouvement d'Eadweard Muybridge, capturent les formes très différentes créées par ces orbes tournoyants, ce qui peut être comparé à l'action de la protagoniste de la vidéo, dans la mesure où ses mouvements matérialisent plusieurs séquences des partitions d'Eshkol. Les gestes et les positions méticuleux de la danseuse sont expressifs sans être figuratifs. Ils sont simples et singuliers à la fois : ils sont abstraits, mais en contradiction avec l'angularité des volumes gris disposés derrière la danseuse et dans toute l'installation. Sela est énigmatiquement présente et entièrement concentrée, dessinant la trajectoire avec les extrémités de son corps qui explorent les multiples possibilités spatiales de sa discipline.
Cette exposition a été conçue grâce à une collaboration spéciale entre le Musée Guggenheim Bilbao, la Thyssen-Bornemisza Art Contemporary (TBA21) et The Wellbeing Project.
Commissaire : Manuel Cirauqui
Sharon Lockhart 
Quatre exercices de notation du mouvement 
Eshkol-Wachman (Four Exercises in Eshkol-Wachman 
Movement Notation), 2011 
Installation vidéo à canal unique (en couleur, sans son) et 
mur de projection 
Thyssen-Bornemisza Art Contemporary Collection 
Photogramme : courtoisie de l’artiste, neugerriemschneider, Berlin, et Gladstone Gallery, New York et Bruxelles.

Le programme Film &amp; Vidéo du Musée Guggenheim Bilbao se tourne en permanence vers les pratiques artistiques liées à l'image en mouvement et explore

Sharon Lockhart. Rotation notation | Musée Guggenheim Bilbao

Elles font l’abstraction

L’abstraction comme symbolisme sacré

Les Russes des avant-gardes

Le Texas Bauhaus

Le néo-concrétisme brésilien

Textile et abstraction

Une abstraction politique ?

Elles font l’abstraction ambitionne d’écrire l’histoire des apports d’« artistes femmes » à l’abstraction au 20e siècle, jusqu’aux années 1980 environ, avec quelques incursions inédites dans le 19e siècle.
Selon les termes choisis pour le titre, les artistes y sont présentées comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de son héritage. Loin du catalogage, il s’agit de mettre en évidence des tournants décisifs qui ont marqué cette histoire, tout en questionnant les canons de l’abstraction. Une attention toute particulière est donnée à la mise en évidence des contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des artistes femmes. Ces contextes sont à la fois éducationnels, sociaux, institutionnels, idéologiques voire esthétiques. L’exposition révèle ainsi le processus d’invisibilisation qui a marqué l’oeuvre de ces artistes, tout en rendant compte de leurs positions, avec leurs complexités et leurs paradoxes. Beaucoup se sont définies au-delà du genre, quand d’autres ont revendiqué un art « féminin ».
Saloua Raouda Choucair 
Huile sur toile 
47 x 67 cm 
Saloua Raouda Choucair Foundation 
© Saloua Raouda Choucair Foundation, Beirut 
© Galerie Saleh Barakat

ELLES FONT L'ABSTRACTION

VISIONNAIRES. EN AVANCE SUR LEUR ÉPOQUE

FEMMES ARTISTES ou ARTISTES

L’ABSTRACTION DANS L’ART

LES LIMITES DU CORPS

L’ART TEXTILE. ENTRE LE FONCTIONNEL ET L’ARTISANAL

L’ÉLECTRICITÉ

Vidéo de l'exposition

Nous vous invitons à participer à une visite virtuelle de l’exposition Elles font l’abstraction. Cette promenade comprend toutes les œuvres et les textes d’explication présentés au sein de l’accrochage.

Elles font l’abstraction ambitionne d’écrire l’histoire des apports d’« artistes femmes » à l’abstraction au 20e siècle, jusqu’aux années 1980 environ,

Elles font l’abstraction | Musée Guggenheim Bilbao

A Conversation on Alice Neel

Alice Neel : les gens avant tout 

IBERDROLA

Premieres œuvres

New York, Spanish Harlem

Politique de New York

La Comédie humaine

Paysages urbains

Natures mortes

Abstraction

Le nu et la sexualité

Maternité

Contreculture / Culture

« J’ai essayé de revendiquer la dignité et l’éternelle importance de l’être humain » 
Alice Neel: Mike Gold, Daily Worker, 1950
Alice Neel (1900–1984) est l’une des artistes les plus radicales du XXe siècle. Fervente avocate de la justice sociale, de l’humanisme et de la dignité des personnes, elle se considérait elle-même comme une “collectionneuse d’âmes”. Ses oeuvres expriment l’esprit d’une époque, l’intrahistoire d’un New York vu au travers du prisme de ceux et celles qui subissaient les injustices dues au sexisme, au racisme et au capitalisme, mais aussi des activistes qui les ont combattus. Cohérente avec son souci de démocratie et d’intégration, Neel a peint des gens de très différentes origines et conditions sociales.
Alice Neel 
Recrue noire (James Hunter) [Black Draftee (James Hunter)], 1965 
Huile sur toile 
152,4 × 101,6 cm 
COMMA Foundation, Belgique 
Courtoisie de The Estate of Alice Neel 
© The Estate of Alice Neel, Bilbao, 2021

IN FOCUS

Nous vous invitons à participer à une visite virtuelle de l’exposition Alice Neel : les gens avant tout. Cette promenade comprend toutes les œuvres et les textes d’explication présentés au sein de l’accrochage.

Alice Neel : les gens avant tout

« J’ai essayé de revendiquer la dignité et l’éternelle importance de l’être humain » Alice Neel: Mike Gold, Daily Worker, 1950 Alice Neel (1900–1984) est

Alice Neel : les gens avant tout | Musée Guggenheim Bilbao

Cecilia Bengolea

Charla con artistas

Cecilia Bengolea. Animations d’eau

La programmation de la salle Film &amp; Vidéo du Musée Guggenheim Bilbao illustre l’engagement permanent de l’institution en faveur des pratiques artistiques liées à l’image en mouvement dans le contexte des arts visuels contemporains.
Conjuguant dans sa pratique la vidéo, la chorégraphie et la sculpture, l’artiste multidisciplinaire Cecilia Bengolea (Buenos Aires, 1979) étudie les diverses formes de danse populaire et combine éléments contemporains et éléments archaïques pour renouveler constamment le concept de figuration. L’exposition réunit trois pièces récentes représentatives de l’originale perspective avec laquelle l’artiste traite la vidéosculpture, en utilisant les images en mouvement comme autant d’agents corporels agissant librement dans l’espace expositif. Le concept ambigu d’animation présent dans l’intitulé renvoie à la fois au mouvement naturel des personnages filmiques et à la vieille ambition d’insuffler la vie à ce qui est artificiel, de doter d’énergie ce qui est inerte. Dans le travail de Bengolea, l’anima — comprise comme l’âme ou le souffle vital d’un corps — est intimement liée aux capacités de conductivité électrique des organismes vivants, tandis que la musique se manifeste comme une force contagieuse d’animation. Avec leur inépuisable potentiel pour se transformer, muter et s’imiter mutuellement, les êtres animés s’assimilent à l’élément ‘eau’ dans son infinie plasticité.
La récente production Danse de l’éclair (2018) est basée, à l’instar de nombreux projets de Bengolea, sur la collaboration approfondie que l’artiste noue avec ceux qui y apparaissent, notamment les artistes de dancehall Craig Black Eagle et Oshane Overload Shankaz. Filmée dans la ville jamaïcaine de Bog Walk et produite à Londres, cette œuvre a rapidement aquis une valeur d’icône et fait partie d’importantes collections comme TBA21 à Vienne ou Tank à Shanghai. Par le biais d’une projection vidéo monocanal en noir et blanc, la vidéaste explore l’influence de l’électricité atmosphérique sur le comportement et l’imagination. La pièce appartient à une série encore ouverte d’œuvres avec lesquelles Bengolea explore la culture dancehall à la Jamaïque, convertie en un phénomène mondial qui se ramifie en d’innombrables sous-genres et styles de musique et de danse populaires aujourd’hui. La formidable présentation de Danse de l’éclair s’accompagne de deux animations numériques : Bestiaire (2019) et Postures favorites (2018). S’inspirant des descriptions recueillies dans Le livre des êtres imaginaires (1957) de Jorge Luis Borges, pour Bestiaire l’artiste a scanné son corps dans son évolution jusqu’à sa métamorphose en un ensemble de créatures fantastiques. Ainsi, en recourant à une iconographie similaire à celle des hologrammes, elle rend visible les fantastiques transformations d’un corps en état constant de mutation. Pour sa part, Postures favorites prend comme point de départ la pieuvre dans sa capacité à suggérer un corps sans limites, une créature complètement liquide et immensément sensible dotée d’une intelligence décentralisée et multiple, dont les mouvements fluides coulent librement entre l’intérieur et l’extérieur, l’être et l’environnement.
Curateur : Manuel Cirauqui
Cecilia Bengolea 
Danse de l’éclair (Lightning Dance), 2018 
Projection vidéo, noir et blanc, sonore, 6 min, 3 s 
Courtoisie de l’artiste et Galería Àngels Barcelona 
© Cecilia Bengolea

La programmation de la salle Film &amp; Vidéo du Musée Guggenheim Bilbao illustre l’engagement permanent de l’institution en faveur des pratiques

Cecilia Bengolea. Animations d’eau | Musée Guggenheim Bilbao

« L&#8217;expérience vécue dans le cadre de ce programme me procure une joie incommensurable. Au fil des années, nous avons réalisé des projets de qualité et particulièrement importants. La pandémie actuelle rend notre travail fondamental ».
Elssie Ansareo

Artistes

Ansareo, Elssie

« J&#8217;ai été surpris par leur soif de connaissance et par les questions et commentaires qu&#8217;ils m&#8217;ont adressés pendant que je leur montrais certains de mes projets, l&#8217;œuvre d&#8217;Olafur Eliasson et d&#8217;autres artistes qui travaillent sur le rapport entre l&#8217;être humain et son milieu naturel et qui utilisent l&#8217;eau comme matériau de base. L&#8217;environnement, le lieu où l&#8217;on vit est vraiment primordial ! La porte d&#8217;entrée de la vallée de Carranza par l&#8217;Alto de La Escrita, les vues panoramiques depuis El Suceso, faisaient que chaque jeudi matin, en me rendant à l’école Concha, j’étais dans un autre état d&#8217;esprit, plus apaisé, ce qui me préparait à l&#8217;intensité de la journée. Ce groupe particulièrement sympathique a évolué dans ce paysage et cet environnement, et j&#8217;espère les avoir aidés avec mes propositions ».
Ibon Garagarza

Garagarza, Ibon

« Cette expérience a été passionnante. La démarche consistait à intervenir dans un cadre scolaire. Ce qui a attiré notre attention, c&#8217;est l&#8217;utilisation généralisée de la typographie basque dans de nombreux magasins et établissements. Nous avons lancé un safari photographique pour photographier un grand nombre de panneaux. Nous nous les sommes appropriés et les avons ensuite utilisés pour formuler les messages que le groupe voulait envoyer à la population. Ces panneaux sont donc réapparus dans la rue mais en proposant une nouvelle lecture ».
Zaloa Ipiña

Ipiña, Zaloa

« Cette expérience a été passionnante. La démarche consistait à intervenir dans un cadre scolaire. Ce qui a attiré notre attention, c&#8217;est l&#8217;utilisation généralisée de la typographie basque dans de nombreux magasins et établissements. Nous avons lancé un safari photographique pour photographier un grand nombre de panneaux. Nous nous les sommes appropriés et les avons ensuite utilisés pour formuler les messages que le groupe voulait envoyer à la population. Ces panneaux sont donc réapparus dans la rue mais en proposant une nouvelle lecture ».
Nerea Lekuona

Lekuona, Nerea

« Cette année si particulière en raison des circonstances nous a donné l&#8217;occasion d&#8217;aborder le travail sous un angle différent. Nous avons choisi de travailler à l&#8217;extérieur de manière plus éphémère toujours tournés vers l&#8217;action. L&#8217;expérience a été très enrichissante, car elle a permis d&#8217;aborder un des sujets inclus au programme scolaire &#8220;Digestion&#8221; d&#8217;un point de vue physique et conceptuel. Je pense que les enfants ont accueilli ces propositions très naturellement, car pour eux, c&#8217;est normal et c&#8217;est leur façon d&#8217;aborder l&#8217;art. Cette façon de représenter, de refaire s&#8217;apparente à un jeu. C&#8217;est ainsi que l&#8217;artiste en herbe appréhende l&#8217;art en général, en partant d’un projet précis et concret ».
Manu Muniategiandikoetxea

Muniategiandikoetxea, Manu

« Je dirais que cette année, mon expérience a été exaltante et étrange. Exaltante, pour être entrer en contact avec un groupe d’écoliers, curieux et réceptifs, avides de connaissance et d&#8217;apprentissage, et aussi parce que j&#8217;ai eu le privilège de jouer le rôle de transmetteur. Étrange, à cause des circonstances qui nous ont tant conditionné mais aussi à cause du caractère très court de l&#8217;expérience, nous ayant obligés à &#8220;mettre le turbo&#8221;.
Ibon Sáenz de Olazagoitia

Artistas

Sáenz de Olazagoitia, Ibon

Apprendre avec BBK

CONCHA, Carranza 

NOUS SOMMES DES SCIENTITFIQUES!

BELASKOENEA, Irun 

DIGESTION ET CRÉATION

LABASTIDA, Labastida

PHRASES DANS LES RUES

JUAN RAMÓN JIMÉNEZ, Cruces-Barakaldo

POINT/LIGNE/PLAN/BOÎTE/POUM !

PÍO BAROJA, Bilbao

TABLEAUX AMBULANTS

SAN IGNACIO, Getxo 

ÉMOTIONS DANS LA COUR DE RÉCRÉ

Comme chaque été, cette exposition présente la dernière phase du projet artistique et éducatif mené durant l'année scolaire. Au fil des huit séances de cette édition - qui, pour des raisons sanitaires, a démarré en mars -, des projets artistiques ont été proposés dans six écoles lesquelles ont abordé des thématiques figurant au programme scolaire, notamment la géométrie et le volume, le fonctionnement des organes du corps humain ou des expériences scientifiques envisagées sous un angle différent : celui des arts.
Dans le contexte de la crise sanitaire, nous avons investi les cours d’école, les espaces ouverts, les parcs... L’approche pédagogique dans cette édition comprenait l’observation de l’art dans la rue et la création d’espaces de santé. En nous promenant dans notre espace environnant, on a eu plus d'une surprise. La découverte de notre cadre de vie nous a permis de dénicher des murs, des places ou des jardins que nous ne connaissions pas. Même si cette année le programme a dû être raccourci, il a été exécuté avec encore plus de plaisir et de motivation.
Elssie Ansareo, Ibon Garagarza, Zaloa Ipiña, Nerea Lekuona, Manu Muniategiandikoetxea et Ibon Saénz de Olazagoitia sont les six artistes qui ont accompagné plus d'une centaine d'écoliers tout au long de cette aventure, les encourageant à découvrir leur environnement et à devenir acteurs de leur créativité. La méthode choisie les a amenés à réfléchir, à juger, à choisir, à expérimenter, à douter, à s'amuser, parfois aussi à se perdre et, enfin, à se tromper, car sans erreur, il n’y a pas de progrès. Ce programme permet de poser des questions, d'éveiller la curiosité et de laisser la porte ouverte à l'improvisation, au jeu, à l'exploration, à la recherche et à l'expérimentation.
Cette exposition clôt le cycle du processus artistique et constitue une mise en scène du travail fourni. Le public qui visitera l'exposition aura ainsi la chance inespérée de voir des points de vue originaux et inédits, d'explorer des idées inspirantes et de partager le plaisir de la découverte et de la créativité des cent écoliers qui ont participé au projet.

ÉCHANGE BILBAO–NEW YORK

PROGRAMME

HISTOIRE

Apprendre à travers l'art 2021

Comme chaque été, cette exposition présente la dernière phase du projet artistique et éducatif mené durant l'année scolaire. Au fil des huit séances de

Apprendre à travers l&#039;art 2021 | Musée Guggenheim Bilbao

Apprendre à travers l'art 2021 | Musée Guggenheim Bilbao

La ligne du génie

Visite d'inauguration

La línea del ingenio

Charla introductoria a la exposición

Galerie 305 

Remise en question de la tradition

Galerie 306

Modes de Représentation

Galerie 307

Matériaux et méthodes

L’ensemble d’oeuvres que présente La ligne du génie se caractérise par sa nature humoristique, expérimentale, intelligente et inquisitive. Conçues à partir de matériaux et de techniques inhabituels, ces pièces, qui vont des années 1950 au moment présent, ont pour trait commun de remettre en question les conventions esthétiques, souvent de façon ludique, ingénieuse et perspicace. L’exposition réunit des artistes de plusieurs générations travaillant avec différents médiums, ainsi que des pièces hautement significatives de la collection du Musée Guggenheim Bilbao rarement exposées à côté d’autres très connues. La combinaison de haute culture et de culture populaire, d’ordinaire et de sublime, de sérieux et d’ironie qui sous-tend la présentation vise à saper les hiérarchies sur lesquelles sont fondés les beaux-arts.

TECHNIQUES ET EXPÉRIMENTATIONS

AVEC QUOI ET COMMENT

L’ASSOCIATION DES MATÉRIAUX, DES TECHNIQUES ET DES IDÉES

LA SÉRIALITÉ COMME STRATÉGIE

EXPÉRIMENTATION

PRÉSUPPOSÉS DISCUTABLES

L’ensemble d’oeuvres que présente La ligne du génie se caractérise par sa nature humoristique, expérimentale, intelligente et inquisitive. Conçues à

La ligne du génie | Musée Guggenheim Bilbao

Les Années folles

BBK_new

Images de l'exposition au musée

Galerie 204 et 205

Laisser le traumatisme derrière

Galerie 206

Nouveaux rôles, nouveaux modèles

Galerie 207

De nouvelles façons de voir les choses

Galerie 209

Désir

Galerie 203

Travail, loisirs, design et architecture

Galerie 202

La révolution de la mode

Galerie 208

Nouvelles notions du corps

Les années 1920 ont été une décennie de progrès, mais aussi de révolte. La guerre mondiale désastreuse — suivie d'une pandémie dont on peut faire un parallèle saisissant avec la crise actuelle du coronavirus — a réveillé chez les gens un véritable appétit de vivre. À aucune autre époque du XXe siècle, le désir de changement n'a été aussi intense. Les villes se sont développées à un rythme vertigineux et de nouvelles visions urbaines se sont dessinées. Les rôles sociaux et familiaux conventionnels ont été remis en question et transformés, et les groupes défavorisés ont fait entendre leur voix dans les sphères de la politique et de la culture. L'amélioration des conditions de travail s'est accompagnée du développement de l'industrie des loisirs. L'esprit d'innovation a inspiré les arts et encouragé l'expérimentation dans toutes les disciplines. Il est frappant de constater qu'aucune des réalisations de cette époque n'ont rien perdu de leur importance.

ACTUALITÉS !  LA PUISSANCE DES ARTS DU SPECTACLE

LES PROGRÈS TECHNOLOGIQUES

LES DÉCOUVERTES SCIENTIFIQUES

LE VOTE DES FEMMES ET LA SOCIÉTÉ

LA POLITIQUE  ET LE CONTEXTE EUROPÉEN

DE NOUVELLES DANSES SUR DE NOUVEAUX RYTHMES

LES CAFÉS, LIEUX DE RENCONTRE

LE THÉATRE EXPÉRIMENTAL DE MAX REINHARDT

Les années 1920 ont été une décennie de progrès, mais aussi de révolte. La guerre mondiale désastreuse — suivie d'une pandémie dont on peut faire un

Les Années folles | Musée Guggenheim Bilbao

18€ Adulte - 9€ Retraité - 9€ Étudiants

L&#8217;initiative TopARTE du Musée Guggenheim Bilbao confirme son engagement auprès  des organisations et des institutions culturelles de notre environnement immédiat. Le résultat de cette collaboration fructueuse est un programme varié, multidisciplinaire, riche en contenu et en formats qui s’adresse à tous les publics.
Dans le cadre de ce projet, plusieurs activités sont ainsi présentées au Musée couvrant des disciplines aussi diverses que l&#8217;architecture, le cinéma, la danse, le design, la gastronomie, la musique, les performances et le théâtre.

Expositions

Passée

Du fauvisme au surréalisme : chefs-d'œuvre du Musée d'Art Moderne de Paris

Sharon Lockhart. Rotation notation

Elles font l’abstraction

Alice Neel : les gens avant tout

Cecilia Bengolea. Animations d’eau

Apprendre à travers l'art 2021

La ligne du génie

Les Années folles

Expositions en cours

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